WYSE LONDON

Le cachemire  » POP your dressing  » !

Marielle Wyse a débuté sa carrière dans le département mode du magazine « Elle » puis sera par la suite réalisatrice de documentaires pour la BBC tout en gardant sa passion pour les vêtements.

Moitié française par sa mère, elle pense qu’il ne faut surtout pas suivre ce que dicte la mode mais s’habiller en fonction de ce qui nous rend belle. Grande fan de pulls en cachemire, elle a du mal à conciller ce qu’elle aime avec des prix raisonnables. C’est après une pause de huit ans pour élever ses enfants, qu’elle décide en 2014 de monter sa propre marque éponyme : Wyse London.

Une gamme en cachemire sûre et abordable, du pull ample au petits pull de style breton : son concept, des formes faciles à porter qui conviendront à tout le monde à des prix accessibles et surtout lavables en machine.

Tout a du détail, jamais banal, que ce soit un fil de lurex, des paillettes, des coudes en cuir métallisé, des patchs en sequin ou des touches de couleurs. Marielle joue à tricoter des modèles 100% désirables avec des formes justes et des détails astucieux qui conviennent à la plupart des styles. Ses pulls ajoutent une touche d’intérêt à une tenue en apportant quelque chose d’élégant et décontracté.

Quand on pense « pull en cachemire », on s’imagine plutôt une coupe basique, col V, dans des coloris unis. Wyse London va les décliner en version un peu plus intéressante avec un second coup d’œil qui s’arrêtera sur chaque détail. Super doux, ces pulls remplissent bien leur rôle pour être portés toutes les saisons, et durer toute une vie. Une collection originale qui réveille à merveille nos dressing parisiens.

Marielle propose également une collection pour hommes

Elle n’est pas encore distribuée en France mais on commande sur le site

Encore Wishlist !!!

CAVAL

Deux pieds… deux chaussures différentes !

CAVAL : un super concept imaginé par une équipe de jeunes originaux. Benoît Habfast, passionné de dessin, Simon De Swarte, passionné de musique et Achille Gazagnes, passionné de théâtre ont passé plus de 20 ans à enfiler leurs chaussures simplement par habitude sans se demander pourquoi elles étaient identiques. Ces trois « franchies » tout fraîchement diplômés d’HEC Paris, libèrent leur imagination des automatismes en créant les premières baskets complémentaires. En juin 2017, ils bénéficient de l’accompagnement du réseau de l’entrepreneuriat et de l’innovation des étudiants de l’Université Paris-Saclay pour les soutenir dans leur projet. Ils embauchent une styliste pour les aider à dessiner leur première collection puis partent pour le Portugal pour trouver leur fabricant de chaussures. Benoît, Simon et Achille, ces trois amis de longue date vont mettre 6 mois pour concrétiser et se lancer dans l’aventure CAVAL.

Pour financer leur première collection et production, ces trois jeunes entrepreneurs ont lancé en décembre 2017, une campagne de crowfunding sur Ulule.

C’est à Guimaraes, berceau portugais de la basket que les modèles vont être fabriqués. CAVAL utilise des cuirs italiens de premier choix, la semelle est en caoutchouc, cousue et collée, la semelle intérieure est amovible, et l’avant de la basket est renforcé tandis que l’arrière est doublé d’un anti-dérapant. Les marquages intérieurs et arrières et les œillets sont aussi dépareillés. Les coutures et les finitions sont impeccables. Ces baskets sont faites pour durer et se bonifier avec le temps. Chez CAVAL, on ne parle pas de paire  mais de couple de sneakers.

Un véritable Coup de cœur : CAVAL a imaginé les premières baskets qui donnent vie à un couple de chaussures « Hors Paires », harmonieusement dépareillées et qui se complètent par des jeux d’asymétrie, de formes et de couleurs. Leur première collection est composée de 2 modèles pour hommes et 2 pour femmes, déclinée chacune en 4 coloris. Avec leurs harmonies de couleurs, les créations sont belles à regarder de tous les côtés…

ISIDORE LEROY

 

Le grand retour du papier peint Français….

C’est lors de notre visite au salon maison et objet que nous avons rencontré Jean Etienne Belicard, entrepreneur né. Après un parcours dans diverses entreprises « high teck », cet ingénieur/polytechnicien a toujours eu l’envie de remettre au goût du jour une marque française de luxe dans un secteur peu développé. C’est en effectuant des recherches pour la rénovation de sa maison en 2011, qu’il découvre la manufacture de papiers peints « Isidore Leroy ». Une entreprise de luxe, liquidée en 1982,  comme la plupart des entreprises françaises de ce secteur à cette époque …

Jean Etienne consulte l’ensemble des albums de la production de l’entreprise (1840-1982) ,visite le musée de l’établissement et y découvre des trésors oubliés. Elle est sa marque de luxe…, aussitôt il redépose le nom et se met au défi de relancer cette grande maison française. Il sollicite et rencontre Karen Beauchamp (ancienne directrice de « Cole and Son ») qui lui transmet son savoir faire pour sortir en 2016 une première collection piochée dans les archives de la manufacture.

Isidore Leroy a créé en 1842 cette société de papiers peints, installée à Paris dans le 9ème arrondissement. A cette époque, Leroy est la seule entreprise française à disposer d’une machine à imprimer de façon traditionnelle, au cylindre, en vingt-six couleurs en s’inspirant des méthodes précédemment réservées aux tissus. Les papiers peints sont produits selon deux méthodes techniques artisanales : l’impression traditionnelle au rouleau : (des rouleaux de surface gravés sont utilisés pour l’impression du dessin, tandis que la couleur de fond est appliquée avec un couteau à air) et l’impression numérique : utilisant les dernières technologies par jet d’encre. La maison s’appuie sur trois fondamentaux qui lui ouvre la voie : l’avance technologique – l’excellence des produits – l’élégance des designs. Les papiers peints « Isidore Leroy » deviennent rapidement très recherchés dans le monde entier à une époque où la bourgeoisie était triomphante et prospère et où le luxe et le confort opulent étaient à l’ordre du jour. Des milliers d’œuvres et de documents se rapportant à Leroy, longtemps leader européen du papier peint sont conservés dans l’ancienne usine qui fut  transférée à Ponthierry, en Seine-et-Marne, sur un site de 70 000 m2  transformée aujourd’hui en musée et illustrent l’activité de cette prestigieuse manufacture.

C’est dans les nouveaux locaux transférés à bordeaux que Jean Étienne collabore pour sa deuxième collection en 2017, avec la maison Alexandre Turpault en reprenant des motifs raffinés de leur collection linge de maison qu’il reproduit sur des panoramiques en papiers peints. Il développe aussi ses collections en collaborant avec différents designers et met en place tout dernièrement une collab avec Petrusse en reproduisant les superbes motifs stylisés de leurs étoffes sur papiers peints.

Toutes les impressions digitales sont réalisées en France et le reste de la production en Angleterre (pays du papier peint). A partir d’octobre 2018, Jean Etienne acquerra sa première machine pour transférer progressivement toute la production en France et revenir à des savoirs faire  traditionnaux et de pointes et produire des papiers peints créatifs avec une grande attention aux détails que l’on retrouve sur tous ses dessins.

Il innove cette saison en nous présentant un concept de décor personnalisable pour plafond unique : on peut choisir sa couleur, placer des motifs, le tout en fonction des dimensions de notre plafond. Une super idée facile à poser et beaucoup moins onéreuse que la peinture.

Le papier peint  rebooste une pièce en un clin d’œil, dépayse et fait voyager l’ambiance. Plébiscité par les magazines de décoration avec des designs synonyme de haute qualité à la pointe de l’innovation, Isidore Leroy « twiste » notre intérieur avec ces élégantes décorations murales qui sont devenues ultra tendances. Nul besoin d’adopter le total look  sur les quatre murs pour pimper le style de notre intérieur, un seul lé de papier bien choisi et bien positionné suffit à métamorphoser l’atmosphère et à donner du peps à une pièce. Les lés sont plus épais et plus pratiques à poser. Les nouveaux imprimés aux couleurs lumineuses poussent à retrouver la brosse à maroufler . Il y en a pour tous les goût : du sobre, de l’élégant, du graphique, du poétique….et les collections historiques ont été modernisés pour coller parfaitement a nos intérieures contemporains.Sur un mur bien exposé aux regards, on pose un lé unique, comme un tableau géant, ou un papier peint panoramique, et c’est alors tout le mur qui devient œuvre d’art. Un bonheur que l’on fait fleurir dans chaque pièce, qui permet de se faire plaisir et de renouveler l’opération aussi souvent que nos goûts et nos envies évoluent. On adore et on s’y met !!!!!

Lien ICI

MIZELE

Push Mode : la petite marque de maroquinerie pas comme les autres…!

Pour cette rentrée, on vous parle de cette nouvelle marque de sacs qui nous a fait craquer ….

Grégory et Laetitia ont été immergés dans l’univers du textile depuis leur plus jeune âge. Laetitia, l’ainée a débuté sa carrière en tant que directrice commerciale dans une société informatique. Grégory, lui s’est formé à Esmod et devient, à seulement 23 ans, directeur studio de la marque Harmony Paris. Tous les deux, passionnés de mode, ont toujours rêvé de créer un projet commun autour d’un produit qui ferait le BUZZ !

C’est en 2014, que Laetitia Mizele quitte son poste à Paris et déménage avec sa famille à Tel Aviv. Enceinte, pour passer le temps, elle se met à tricoter des bobines de fil de jersey de coton recyclé sur les bords de mer, créant un panneau en jersey qu’elle transforme par hasard en sac à main. Grégory repère le potentiel du modèle, poste alors une photo sur son compte Instagram et en seulement quelques jours, des dizaines de proches et d’inconnus « like » le cliché. Des internautes, des célébrités ainsi que des boutiques les supplient de leur envoyer des sacs alors qu’aucune production n’est lancée….

J’ai dit à ma sœur, c’est maintenant ou jamais ! » Grégory Mizele lance la marque au nom éponyme

Il faudra un an, au duo pour mettre au point le prototype de sac crocheté aux volumes parfaits et trouver un fournisseur capable de le réaliser en séries. Avec cette matière fétiche, ils font naître des sacs cabas rectangulaires crochetés. C’est dans des ateliers à Madagascar qu’ils trouvent des femmes ayant hérité de ce savoir faire unique. Chaque pièce est réalisée à la main nécessitant pas moins de 20 heures de travail manuel pour  la réalisation  d’un exemplaire rendant chacun de ces produits uniques.

 

Chaque sac se décline en plusieurs formats et couleurs, à l’intérieur, une bourse en voile de coton colori nude se fermant à l’aide d’un cordon permet de ranger ses affaires. Un soin particulier est apporté aux finitions : toujours à la recherche de la perfection associée à l’amour du beau, Grégory et Laetitia se fournissent en Italie pour les cuirs et accessoires métalliques symbole de qualité. Et parce qu’ils sont précieux, ils sont livrés dans une pochette rayée bleu ciel et blanc brodée, comme un rappel à l’enfance des créateurs.

Le +++ : La bandoulière amovible en cuir nude ( un colori signature) qui nous offre un porté différent des cabas actuels .

Ces grosses mailles 100 % coton forment un accessoire léger et contemporain, au caractère intemporel.

 

Si la folie des paniers en osier a envahi notre été, ces cabas offrent la belle alternative que l’on attendait pour l’hiver en créant des sacs de ville qui remplaceraient nos habituels sacs en cuir. Cette marque niche, encore confidentielle, nous propose un mélange de chic et de cool à l’ADN subtil pour celles qui ont envie de se démarquer. Pour cet hiver, Mizele complète sa collection avec une ligne de pochettes toujours crochetée en fils lurex et des capes en alpaga, drap de laine ou cachemire aux bordures brodées fabriquées en France, So Chiiiic !

Attention : ces sacs très prisés sont déjà sur liste d’attente !!! Grégory et Laetitia travaillent à augmenter leur capacité de production à l’heure où le come-back du panier ne semble pas se calmer.