Auteur : laurence

EFFECTIVEMENT

Une ceinture signature…

Passionnée de mode depuis son enfance, Caroline Tissier se forme à l’ISEM (filière de Esmod). Elle débutera sa carrière en tant que chef de produit chez Sonia Rykiel , puis enchainera en tant qu’assistante de production chez Saint Laurent où elle découvrira la transformation des matières. C’est chez Louis Vuitton que Caroline découvrira le monde du développement d’accessoires de mode en créant le département industriel de la marque. Elle y travaillera pendant 10 ans.

En 2015, elle monte sa société de conseil en stratégie produit et développement de marque. Passionnée par le processus créatif qu’elle souhaite allier à celui de la fabrication, elle réfléchit et constate que le marché de la belle ceinture est aujourd’hui délaissé et peu varié. En 2016, sa marque effectivement Paris (comme une évidence de ce qui s’impose à l’esprit comme une réalité.. ) voit le jour.

Son concept : une ceinture comme accessoire à part entière, qui marie les savoirs faire et dépasse les conventions de fabrication pour une féminité affirmée qui sera à l’origine de notre tenue vestimentaire.

Caroline applique sur des bandes de satin de coton, teintes à la couleur, des dessins de flocks velours recoloriés et appliqués comme une sérigraphie. Certains modèles sont rebrodés à la main avec des perles Swarovski, le tout dans différents ateliers français. Les bandes seront ensuite montées sur un lien de cuir de veau grainé de 5,5cm, en Italie.

Cette ré-interprétation graphique s’inspire des paysages de photographies aériennes et prend la forme d’aplats de couleurs aux lignes géométriques. Un original et élégant graphisme abstrait contemporain utilisant des matériaux sophistiqués pour un savoir faire au croisement du textile et de la maroquinerie.

Les deux ceintures proposées offrent trois longueurs de taille (S, M, L) dans une largeur unique :

– La première se ceinture à l’aide d’une boucle métallique, bombée sur le dessus, et spécialement développée pour la marque, gainée de cuir de veau grainé et refermée grâce à des vis étoilées.

-La deuxième se noue à l’aide d’un lien gainé de cuir, aux embouts en métal  coordonnés aux œillets présents sur le corps de la ceinture. Ce modèle offre la possibilité d’un porté inversé avec le nouage du lien placé dans le dos.

Une collection qui s’articule autour de 5 couleurs : bois de rose, gris nuage, noir vibrant, bleu nuit, et noir mat et qui se décline à l’envie en 6 motifs.

La ceinture revient aujourd’hui en force, souligne et dessine la silhouette en accentuant la taille. Ces deux modèles envisagés comme un support artistique répondent à un porté confortable, mettant ainsi en valeur l’ensemble de la silhouette. Un positionnement créateur qui navigue entre classicisme et nouveauté pour des ceintures innovantes et raffinées.

Un accessoire symbole d’élégance intemporelle, indispensable pour ajuster un vêtement et affirmer un look.

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HAPPY SHEEP

 Des mailles italiennes 100% hypnotique.

Jacopo Tartarone, né à Milan, a débuté sa carrière, après avoir obtenu son diplôme de production cinématographique, de production vidéo et de photographie noir et blanc à l’Université de New York, dans le monde de la publicité en tant qu’assistant-réalisateur pour plusieurs réalisateurs renommés. En 1998, il réalise son premier court métrage en tant que réalisateur. Il a également réalisé de nombreux clips vidéos pour des musiciens reconnus. Après son mariage et la naissance de ses jumelles, Jacopo change de vie et crée en 2011 une marque de pulls dont le concept relie deux mondes : le cachemire et des motifs hypnotiques aux multiples couleurs.

 Avec HAPPY SHEEP, Jacopo et son équipe réussissent à ramener la magie du Népal en Italie. Le bureau de style italien conçoit le design puis les plus beaux fils de cachemire de Mongolie sont envoyés dans une usine de la vallée de Katmandou. C’est dans un atelier que 30 artisans locaux donnent forme à leurs idées. Les fils sont traités à l’aide de colorants naturels et tricotés selon une tradition ancienne, la même que celle utilisée pour fabriquer les tapis Kelim. Des techniques qui conférent au produit une qualité «artisanale». HAPPY SHEEP donne à chacun de ses pulls une qualité unique mélangée à un style moderne qui deviendra son identité pour des modèles tous doux et hauts en couleur.

Quoi de mieux qu’un joli pull pour affronter la saison hivernale ….

On adore ces petits pulls qui illuminent nos tenues et nous démarquent de la foule. Ces collections easy-to-wear donnent vie à un style dynamique et distingué, toujours plus recherchées pour les amoureux du raffinement et de l’esprit italien.

Mais pour mettre la main dessus, le lien ci-dessous n’est pas un e-shop.  Vous pouvez les contacter pour demander les points de ventes. Cependant, nous les avons trouvés sur Paris chez THE VESTE : 138 rue Saint Honoré 75001 qui est une des rares boutiques à diffuser la marque pour l’instant.

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FROUFROU

Le Nouveau Rendez-Vous en Vogue…

FrouFrou, le tout nouveau lieu signé Moma Group déjà propriétaire de plusieurs lieux festifs à Paris comme le Rural by Marc Veyrat, Manko, Noto, Mamo, ou Lapérouse, a ouvert ses portes le 25 septembre 2018 remplaçant l’historique Café Guitry niché au dessus du Théâtre Edouard VII, dans le 9ème arrondissement à Paris. Benjamin Patou – PDG Moma Group – a choisi de confier la conception, la gestion et le lancement de ce nouveau lieu au duo Kevin Sébag et David Dray (Organisateurs de soirées à succès pour des clubs parisiens comme Le Matignon, Bagatelle ou du Cartel… )

Froufrou est la nouvelle table branchée qui attire les foodies. A la fois terrasse, restaurant, café-théâtre et bar cancan, il s’inspire de la légèreté et de l’insouciance du Vieux Paris où régnait la joie, le partage et la variété.

Dans un superbe décor signé Alexis Mabille, on s’attable dans une pièce feutrée entre tombés de rideaux de velours et lumières tamisées à l’ambiance bleu nuit où le sol aux imprimés épis fait écho aux fresques murales. Dans un autre salon aux murs rouges et à la moquette persane, un speakeasy planqué où le créateur apporte son style avec talent. Ce couturier qui habille Rihanna et Beyoncé, a créé un décor luxuriant, bouillonnant de motifs, de couleurs vibrantes et de lustres scintillants, inspiré du faste des années folles. Cet espace imaginé comme un boudoir parisien chic et feutré a réveillé le café Guitry. La magie cancan opère et invite à un « passage entre ivresse et plaisir ». Du glamour à l’état pur. Cette atmosphère conçue par le petit génie de la mode, qui assume à fond sa casquette de designer d’intérieur est tout simplement magnifiiiiiique !

Le chef colombien Juan Arbelaez ( à la tête de plusieurs tables dont les excellentes Yaya, Vida et Plantxa )  propose un sharing « à la française », sur fond de cuisine bistrot moderne à la fois conviviale et élégante. Des grands plats à l’image des tables du Vieux Paris qui se partagent, de midi à jusque tard dans la nuit. En hommage à ses meilleurs souvenirs culinaires, il mène la danse aux fourneaux et décline des coquillettes truffées de son enfance, une belle lotte rôtie, un Os à moelle pimpé à la truffe, un  jarret de veau confit fondant aux raisins secs, jusqu’au millefeuille XXL. Une cuisine subtile et variée qui a trouvé sa place dans un lieu de fête.

Un nouveau rendez-vous de lâcher-prise qui s’inspire de la légèreté et de l’insouciance du Vieux Paris où régnait la joie, le partage et la variété. Voici une adresse qui ne demandait qu’à renaître ! Du mercredi au dimanche, après les spectacles, le dîner et selon les envies, on s’installe au Bar-Cancan pour profiter encore d’un spectacle continu dans une ambiance festive : musiciens, illusionnistes, danseuses burlesques, DJ et artistes en tout genre s’y produisent, comme un retour vers les années folles.
On y déguste des cocktails jusqu’au milieu de la nuit et on y vit une expérience gustative mêlant à la fois le théâtre et la vie.

Cet endroit nous promet des soirées pimentées…  Que la fête commence !

PIERRE LOUIS MASCIA

Un véritable coup de cœur riche en couleur.

Pierre-Louis Mascia, diplômé des Beaux-Arts de Toulouse en section communication, a débuté sa carrière comme illustrateur de mode dans la haute couture. Il travaillera de nombreuses années pour Yohji Yamamoto et Romeo Gigli puis poursuivra des missions de consulting dans le domaine de l’accessoire pour de grandes maisons tels que Robert Clergerie, Stéphane Kélian ou Hervé Chapelier… C’est un peu par hasard, qu’il effectura des catalogues pour Première Classe (un salon spécialisé dans les accessoires, au moment des Fashion Weeks à Paris), il en deviendra directeur artistique. À cette époque, il croise les dirigeants d’Achille Pinto : une société créée en 1933 à Côme, fabricant de tissus imprimés et de jacquards qui au fil des années a élargi sa gamme de produits et devient un fournisseur, un distributeur et un détenteur de licence de grands noms de l’industrie du textile. N’ayant plus l’envie de développer ses idées pour les autres, Pierre Louis s’associe au fabricant italien qui lui propose de plancher sur un projet de collection à son nom et en 2007, créé sa marque éponyme.

Ses premières collections ont commencé avec des écharpes et ont ensuite évolué pour devenir des collections à part entière.

Autodidacte, Pierre-Louis Mascia est un créateur innovant. Il se considère davantage comme un illustrateur plutôt qu’un designer. Il aime la mixité sous toutes ses formes, le mélange des matières, s’inspire des différentes cultures et de l’art de rue. C’est dans son atelier à Toulouse qu’il imagine ses imprimés : les fleurs côtoient en toute élégance et finesse des motifs géométriques, des imprimés léopard ou des petits ou gros pois… Il fait danser et juxtapose les couleurs et les motifs sans interdit. Le mélange des genres, c’est précisément ce qui fait la marque de fabrique de Pierre-Louis Mascia.

Chaque saison, Pierre Louis Mascia travaille en totale liberté artistique. Il nous propose une vingtaine d’imprimés originaux qui vont être déclinés sur différents vêtements de différentes matières. Il utilise le collage pour créer des motifs complexes qu’il imprimera avec la technique du jet d’encre qui garantie l’unicité des couleurs sur le produit fini.

Cette marque haut de gamme entièrement fabriquée en Italie, s’illustre essentiellement par le choix de matières nobles et précieuses. Pierre Louis prend soin de la conception de chaque modèle avec comme matière de prédilection la soie italienne et porte une attention particulière aux finitions et à la finesse du détail qui caractérisent l’identité de ses collections.

Le résultat de cette créativité sont des collections uniques qui se mélangent harmonieusement pour créer une tribu d’individus connectés par le style.

À l’image de son parcours, même si la marque reste confidentielle, les collections imprimées de Pierre-Louis Mascia sont cousues d’inattendus… Des motifs originaux qui séduisent autant les hommes que les femmes et, surtout, chantent les couleurs de façon inédite. Pierre Louis fait souffler un vent de fraîcheur sur la mode avec sa marque. On se pâme devant cet univers  décalé qui casse les codes… On partage à fond cette même idée de la mode : un joyeux cocktail de style !

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RENEE RECYCLE

Un éternel recommencement…

Marine et Marine se sont rencontrées sur les bancs de l’école d’art appliqué  et ne se sont plus quittées. Marine Delannoy et Marine Lesnicwski sont nées à un jour d’intervalle et ont suivi la même formation (BTS design de mode) de directrice artistique. Après avoir fait leurs armes dans la mode, ces deux amies de 28 ans, qui ont la même vision des choses, rêvaient de créer leur univers. Ayant toujours chiné et recyclé pendant leurs études, c’est tout naturellement qu’en 2016, les 2 Marine se lancent et montent « renée recycle », un nom tiré de la renaissance des objets qu’elles chinent, un prénom vintage et un clin d’œil aussi à l’une de leur grand mère.

Parce que rien ne se perd et que tout doit se transformer, Renée a choisi de consacrer son existence à remettre au goût du jour ce qui doit rester en vie. Déco, meubles, textiles, et  vaisselle, tout ce qui a été récupéré est récupérable. Pour leur redonner une raison d’exister, l’objet recyclé sera   modernisé afin de mieux consommer.

Certains des objets chinés sont laissés en l’état pour leur permettre de raconter leur histoire. Dans leur atelier du Pas de Calais, les autres pièces sont retapées, transformées et valorisées par les 2 Marine « herself » pour leur offrir la réincarnation qu’elles méritent. Elles restaurent le bois,tapissent, refont les peintures dans des coloris tendances et à leurs images. Des collaborations avec des artistes ou artisans ont aussi été mises en place autour de leurs trouvailles pour en faire des pièces uniques. Elles proposent aussi la réalisation d’objets selon la personnalité de leurs clients.

Sur leur boutique en ligne, Renée contribue à redynamiser l’image du recyclage en encourageant l’utilisation de seconde main. Avec son  graphisme moderne et ses produits d’antan twistés, le site revalorise les objets oubliés, et parce que tout est présenté avec un goût fin et exquis et une mise en scène pop, le moindre vase en opaline devient hautement désirable. Renée répare, réadapte, donne un nouveau souffle de vie et offre à l’objet la réincarnation qu’il mérite pour un « éternel recommencement ».

C’est Génial : Renée répond aux enjeux environnementaux de notre époque par le rejet du gaspillage. Elle propose une alternative au modèle de consommation actuelle en valorisant l’image du recyclage et de la seconde main pour les adeptes de décoration vintage et les personnes désireuses de consommer l’objet autrement.

NE JETER PLUS, vous pouvez aussi les contacter pour toute récupération.

c’est trop jolie… on adore

WYSE LONDON

Le cachemire  » POP your dressing  » !

Marielle Wyse a débuté sa carrière dans le département mode du magazine « Elle » puis sera par la suite réalisatrice de documentaires pour la BBC tout en gardant sa passion pour les vêtements.

Moitié française par sa mère, elle pense qu’il ne faut surtout pas suivre ce que dicte la mode mais s’habiller en fonction de ce qui nous rend belle. Grande fan de pulls en cachemire, elle a du mal à conciller ce qu’elle aime avec des prix raisonnables. C’est après une pause de huit ans pour élever ses enfants, qu’elle décide en 2014 de monter sa propre marque éponyme : Wyse London.

Une gamme en cachemire sûre et abordable, du pull ample au petits pull de style breton : son concept, des formes faciles à porter qui conviendront à tout le monde à des prix accessibles et surtout lavables en machine.

Tout a du détail, jamais banal, que ce soit un fil de lurex, des paillettes, des coudes en cuir métallisé, des patchs en sequin ou des touches de couleurs. Marielle joue à tricoter des modèles 100% désirables avec des formes justes et des détails astucieux qui conviennent à la plupart des styles. Ses pulls ajoutent une touche d’intérêt à une tenue en apportant quelque chose d’élégant et décontracté.

Quand on pense « pull en cachemire », on s’imagine plutôt une coupe basique, col V, dans des coloris unis. Wyse London va les décliner en version un peu plus intéressante avec un second coup d’œil qui s’arrêtera sur chaque détail. Super doux, ces pulls remplissent bien leur rôle pour être portés toutes les saisons, et durer toute une vie. Une collection originale qui réveille à merveille nos dressing parisiens.

Marielle propose également une collection pour hommes

Elle n’est pas encore distribuée en France mais on commande sur le site

Encore Wishlist !!!

CAVAL

Deux pieds… deux chaussures différentes !

CAVAL : un super concept imaginé par une équipe de jeunes originaux. Benoît Habfast, passionné de dessin, Simon De Swarte, passionné de musique et Achille Gazagnes, passionné de théâtre ont passé plus de 20 ans à enfiler leurs chaussures simplement par habitude sans se demander pourquoi elles étaient identiques. Ces trois « franchies » tout fraîchement diplômés d’HEC Paris, libèrent leur imagination des automatismes en créant les premières baskets complémentaires. En juin 2017, ils bénéficient de l’accompagnement du réseau de l’entrepreneuriat et de l’innovation des étudiants de l’Université Paris-Saclay pour les soutenir dans leur projet. Ils embauchent une styliste pour les aider à dessiner leur première collection puis partent pour le Portugal pour trouver leur fabricant de chaussures. Benoît, Simon et Achille, ces trois amis de longue date vont mettre 6 mois pour concrétiser et se lancer dans l’aventure CAVAL.

Pour financer leur première collection et production, ces trois jeunes entrepreneurs ont lancé en décembre 2017, une campagne de crowfunding sur Ulule.

C’est à Guimaraes, berceau portugais de la basket que les modèles vont être fabriqués. CAVAL utilise des cuirs italiens de premier choix, la semelle est en caoutchouc, cousue et collée, la semelle intérieure est amovible, et l’avant de la basket est renforcé tandis que l’arrière est doublé d’un anti-dérapant. Les marquages intérieurs et arrières et les œillets sont aussi dépareillés. Les coutures et les finitions sont impeccables. Ces baskets sont faites pour durer et se bonifier avec le temps. Chez CAVAL, on ne parle pas de paire  mais de couple de sneakers.

Un véritable Coup de cœur : CAVAL a imaginé les premières baskets qui donnent vie à un couple de chaussures « Hors Paires », harmonieusement dépareillées et qui se complètent par des jeux d’asymétrie, de formes et de couleurs. Leur première collection est composée de 2 modèles pour hommes et 2 pour femmes, déclinée chacune en 4 coloris. Avec leurs harmonies de couleurs, les créations sont belles à regarder de tous les côtés…

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ISIDORE LEROY

 

Le grand retour du papier peint Français….

C’est lors de notre visite au salon maison et objet que nous avons rencontré Jean Etienne Belicard, entrepreneur né. Après un parcours dans diverses entreprises « high teck », cet ingénieur/polytechnicien a toujours eu l’envie de remettre au goût du jour une marque française de luxe dans un secteur peu développé. C’est en effectuant des recherches pour la rénovation de sa maison en 2011, qu’il découvre la manufacture de papiers peints « Isidore Leroy ». Une entreprise de luxe, liquidée en 1982,  comme la plupart des entreprises françaises de ce secteur à cette époque …

Jean Etienne consulte l’ensemble des albums de la production de l’entreprise (1840-1982) ,visite le musée de l’établissement et y découvre des trésors oubliés. Elle est sa marque de luxe…, aussitôt il redépose le nom et se met au défi de relancer cette grande maison française. Il sollicite et rencontre Karen Beauchamp (ancienne directrice de « Cole and Son ») qui lui transmet son savoir faire pour sortir en 2016 une première collection piochée dans les archives de la manufacture.

Isidore Leroy a créé en 1842 cette société de papiers peints, installée à Paris dans le 9ème arrondissement. A cette époque, Leroy est la seule entreprise française à disposer d’une machine à imprimer de façon traditionnelle, au cylindre, en vingt-six couleurs en s’inspirant des méthodes précédemment réservées aux tissus. Les papiers peints sont produits selon deux méthodes techniques artisanales : l’impression traditionnelle au rouleau : (des rouleaux de surface gravés sont utilisés pour l’impression du dessin, tandis que la couleur de fond est appliquée avec un couteau à air) et l’impression numérique : utilisant les dernières technologies par jet d’encre. La maison s’appuie sur trois fondamentaux qui lui ouvre la voie : l’avance technologique – l’excellence des produits – l’élégance des designs. Les papiers peints « Isidore Leroy » deviennent rapidement très recherchés dans le monde entier à une époque où la bourgeoisie était triomphante et prospère et où le luxe et le confort opulent étaient à l’ordre du jour. Des milliers d’œuvres et de documents se rapportant à Leroy, longtemps leader européen du papier peint sont conservés dans l’ancienne usine qui fut  transférée à Ponthierry, en Seine-et-Marne, sur un site de 70 000 m2  transformée aujourd’hui en musée et illustrent l’activité de cette prestigieuse manufacture.

C’est dans les nouveaux locaux transférés à bordeaux que Jean Étienne collabore pour sa deuxième collection en 2017, avec la maison Alexandre Turpault en reprenant des motifs raffinés de leur collection linge de maison qu’il reproduit sur des panoramiques en papiers peints. Il développe aussi ses collections en collaborant avec différents designers et met en place tout dernièrement une collab avec Petrusse en reproduisant les superbes motifs stylisés de leurs étoffes sur papiers peints.

Toutes les impressions digitales sont réalisées en France et le reste de la production en Angleterre (pays du papier peint). A partir d’octobre 2018, Jean Etienne acquerra sa première machine pour transférer progressivement toute la production en France et revenir à des savoirs faire  traditionnaux et de pointes et produire des papiers peints créatifs avec une grande attention aux détails que l’on retrouve sur tous ses dessins.

Il innove cette saison en nous présentant un concept de décor personnalisable pour plafond unique : on peut choisir sa couleur, placer des motifs, le tout en fonction des dimensions de notre plafond. Une super idée facile à poser et beaucoup moins onéreuse que la peinture.

Le papier peint  rebooste une pièce en un clin d’œil, dépayse et fait voyager l’ambiance. Plébiscité par les magazines de décoration avec des designs synonyme de haute qualité à la pointe de l’innovation, Isidore Leroy « twiste » notre intérieur avec ces élégantes décorations murales qui sont devenues ultra tendances. Nul besoin d’adopter le total look  sur les quatre murs pour pimper le style de notre intérieur, un seul lé de papier bien choisi et bien positionné suffit à métamorphoser l’atmosphère et à donner du peps à une pièce. Les lés sont plus épais et plus pratiques à poser. Les nouveaux imprimés aux couleurs lumineuses poussent à retrouver la brosse à maroufler . Il y en a pour tous les goût : du sobre, de l’élégant, du graphique, du poétique….et les collections historiques ont été modernisés pour coller parfaitement a nos intérieures contemporains.Sur un mur bien exposé aux regards, on pose un lé unique, comme un tableau géant, ou un papier peint panoramique, et c’est alors tout le mur qui devient œuvre d’art. Un bonheur que l’on fait fleurir dans chaque pièce, qui permet de se faire plaisir et de renouveler l’opération aussi souvent que nos goûts et nos envies évoluent. On adore et on s’y met !!!!!

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MIZELE

Push Mode : la petite marque de maroquinerie pas comme les autres…!

Pour cette rentrée, on vous parle de cette nouvelle marque de sacs qui nous a fait craquer ….

Grégory et Laetitia ont été immergés dans l’univers du textile depuis leur plus jeune âge. Laetitia, l’ainée a débuté sa carrière en tant que directrice commerciale dans une société informatique. Grégory, lui s’est formé à Esmod et devient, à seulement 23 ans, directeur studio de la marque Harmony Paris. Tous les deux, passionnés de mode, ont toujours rêvé de créer un projet commun autour d’un produit qui ferait le BUZZ !

C’est en 2014, que Laetitia Mizele quitte son poste à Paris et déménage avec sa famille à Tel Aviv. Enceinte, pour passer le temps, elle se met à tricoter des bobines de fil de jersey de coton recyclé sur les bords de mer, créant un panneau en jersey qu’elle transforme par hasard en sac à main. Grégory repère le potentiel du modèle, poste alors une photo sur son compte Instagram et en seulement quelques jours, des dizaines de proches et d’inconnus « like » le cliché. Des internautes, des célébrités ainsi que des boutiques les supplient de leur envoyer des sacs alors qu’aucune production n’est lancée….

J’ai dit à ma sœur, c’est maintenant ou jamais ! » Grégory Mizele lance la marque au nom éponyme

Il faudra un an, au duo pour mettre au point le prototype de sac crocheté aux volumes parfaits et trouver un fournisseur capable de le réaliser en séries. Avec cette matière fétiche, ils font naître des sacs cabas rectangulaires crochetés. C’est dans des ateliers à Madagascar qu’ils trouvent des femmes ayant hérité de ce savoir faire unique. Chaque pièce est réalisée à la main nécessitant pas moins de 20 heures de travail manuel pour  la réalisation  d’un exemplaire rendant chacun de ces produits uniques.

 

Chaque sac se décline en plusieurs formats et couleurs, à l’intérieur, une bourse en voile de coton colori nude se fermant à l’aide d’un cordon permet de ranger ses affaires. Un soin particulier est apporté aux finitions : toujours à la recherche de la perfection associée à l’amour du beau, Grégory et Laetitia se fournissent en Italie pour les cuirs et accessoires métalliques symbole de qualité. Et parce qu’ils sont précieux, ils sont livrés dans une pochette rayée bleu ciel et blanc brodée, comme un rappel à l’enfance des créateurs.

Le +++ : La bandoulière amovible en cuir nude ( un colori signature) qui nous offre un porté différent des cabas actuels .

Ces grosses mailles 100 % coton forment un accessoire léger et contemporain, au caractère intemporel.

 

Si la folie des paniers en osier a envahi notre été, ces cabas offrent la belle alternative que l’on attendait pour l’hiver en créant des sacs de ville qui remplaceraient nos habituels sacs en cuir. Cette marque niche, encore confidentielle, nous propose un mélange de chic et de cool à l’ADN subtil pour celles qui ont envie de se démarquer. Pour cet hiver, Mizele complète sa collection avec une ligne de pochettes toujours crochetée en fils lurex et des capes en alpaga, drap de laine ou cachemire aux bordures brodées fabriquées en France, So Chiiiic !

Attention : ces sacs très prisés sont déjà sur liste d’attente !!! Grégory et Laetitia travaillent à augmenter leur capacité de production à l’heure où le come-back du panier ne semble pas se calmer.