Mois : mars 2018

LES OTTOMANS

Un monde de Home design pensé pour nos maisons contemporaines.

Bertrando Di Renzo est le fondateur de la marque « Les Ottomans »qui a vu le jour en 2014. Après l’obtention d’un diplôme de sciences économiques et management à la Bocconi de Milan, il s’installe à Barcelone et travaille pendant 15 ans comme manager au sein d’entreprises internationales.

Passionné par la culture turque, il a sillonné de multiples fois ce pays, à la découverte de ses innombrables trésors. Motivé par sa passion de l’art et du design, c’est complètement par hasard qu’il se lance dans cette nouvelle aventure pour mettre à l’honneur le travail des artisans turques et ouzbeks.

Ses collections sont le reflet de ses nombreuses années de voyages et de découvertes dans ce pays historique. En puisant dans les richesses de l’empire Turque aux traditions ancestrales, cette marque propose des imprimés ikat, floraux, géométriques sur velours ou soie, des couvertures anciennes, plaids et écharpes, appliques et tapis, assiettes en céramique ou porcelaine, mais aussi des meubles : chaises, fauteuils, pouf  recouverts de tissus aux couleurs chatoyantes qui célèbrent l’exotisme du Bosphore et le charme du folklore slave.

En collaboration avec des designers internationaux, Bertrando intervient sur les dessins, les colorations, le choix des matériaux et sur les procédés de fabrication où il réinterpréte les motifs traditionnels ottomans avec un twist plus moderne. Chaque tissu, texture, tonalité de ses collections sont le résultat d’un style unique. Côté matériaux, il voue une prédilection pour la soie et le velours où il a su traduire à sa manière les dessins Ikat et où la broderie est souvent en contraste avec les fibres de mêmes matières. Toute sa production est fabriquée en Ouzbékistan.

« Les Ottomans » est une proposition  qui permet à chacun de signer à sa manière son espace quotidien à travers l’exotisme de l’Asie Centrale et des bains turcs. Un énorme coup de cœur pour cette large gamme d’éléments décoratifs, de combinaisons de couleurs, de motifs et de textures colorés et bariolés, où le rouge domine, allant du carmin au bordeaux. Très dépaysant, ces matières soyeuses, ikats de soie et ces motifs géométriques, florales stylisés ou simplement graphiques réchauffent l’ambiance de nos pièces avec cette touche de baroque ultra éclatante.

« LES OTTOMANS »  affirme l’unicité de nos maisons par la possibilité de décorer nos espaces avec des mélanges de tons complètement différents.

ON ADORE, et on ne sort plus de la maison…

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STELLA PARDO

Une maille dans tous ses états…

Cynthia Guerrero a été immergée dans l’univers du textile depuis son plus jeune âge. Ses plus beaux souvenirs de petite fille sont les expéditions avec sa mère dans ces endroits au Pérou où chaque rue à sa spécialité (boutons, zips, tissus…). Elle y a développé naturellement une sensibilité particulière pour cet univers qui la fascine. Enfant, elle collectionnait les écharpes de maille tricotées par sa grand-mère, une femme à laquelle elle voue une admiration inconditionnelle pour sa modernité …STELLA PARDO, c’est elle !

La marque a éte lancée en 2009 avec l’envie de créer une passerelle entre la France et le Pérou. Cynthia a la volonté d’apporter un nouveau style à la maille. Sans aucune formation de stylisme, elle conçoit ses collections à Paris inspirées de ses voyages et les fabrique en petite quantité, à la main par une communauté de tricoteuses à Lima. La créatrice souhaite ainsi préserver un savoir-faire unique, tout en aidant au développement de l’économie locale. Elle passe d’ailleurs plusieurs mois au Pérou chaque année, pour la préparation de ses collections, pour rencontrer les tricoteuses et s’assurer des conditions de travail de celles-ci. Stella Pardo est contributrice à son échelle d’un plan social de développement aidant les femmes à mettre en place leur micro entreprise.

La maille est au centre des collections et la créatrice utilise des matières nobles (et écologiques) comme le baby alpaga : une laine 100% naturelle, chaude, soyeuse et d’une extrême douceur et le coton Pima biologique  cultivé au Pérou, surnommé la soie de l’Amérique latine car c’est l’un des plus beaux cotons au monde. Tout est tricoté de façon traditionnelle, une façon de pérenniser les savoir-faire et de développer l’économie locale. Ces vêtements alternent différents points et techniques parfois sur un même pull et l’accent est mis sur les détails. Les pièces STELLA PARDO sont caractérisées par une variété de textures et de reliefs différents, inimitables sur le plan industriel.

C’est à l’instinct que Cynthia prend un réel plaisir à mélanger les textures et les couleurs pour ses créations. Son rapport particulier avec cette matière fait partie de sa culture donnant une âme à chaque silhouette. Elle laisse libre cours à ses envies pour créer des collections au style romantique chic et aux mélanges les plus insolites.

Les fibres naturelles sont le point fort de cette marque mais pour la saison été 18, la créatrice a élargi sa gamme et propose aujourd’hui un vestiaire complet. Elle a notamment ajouté à sa garde-robe des pieces chaines et trames fabriquées en France. Son savoir-faire est reconnu par la profession et Cynthia est souvent sollicitée pour développer des lignes mailles pour le compte de grandes marques.

Ce que l’on aime chez STELLA PARDO : la délicatesse et finesse de la maille, les détails et le style subtil de ses vêtements. Une histoire de raffinement où tradition et modernité s’accordent pour présenter des pièces fortes qui nous distinguerons pour affirmer un style.

Les collections STELLA PARDO s’adressent à des femme délicates et féminines qui ont un style immédiatement identifiable. On raffole de cette maille moelleuse et douce, des mélanges de couleurs et de ce souci du détail et des choses bien faites.

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JACOPO

A proximité des Champs Élysées, un nouveau bistrot unique en son genre…

Ouvert début février 2018, Jacopo a décidé de miser sur le côté bistrot parisien tout en modernisant les codes. Ce nouvel écrin de Benjamin Artis et d’Alex Bril (les patrons du Yeeels et du Baron), connaît déjà un succès mérité, dans un  décor aux influences hangar new-yorkais à la déco de béton ciré et de bois brut.

Installé au carrefour des rues de Bassono (Jacopo du prénom de monsieur de Bassano, peintre italien de l’école vénitienne) et Vernet, le chef étoilé et ex-finaliste de « Top Chef »Thibault Sombardier, signe la carte de ce « bistrot moderne » où l’on peut déjeuner copieusement à 25 € dans ce très chic quartier. Il a fait appel à Rémi Gonzalez (Jeune chef qui a travaillé dans des cuisines prestigieuses) pour prendre en main les cuisines. Tous deux ont à cœur de faire une cuisine simple proposant une popote à base de produits frais, de régions à des prix très corrects. Les plats cuits au four à charbon ressemblent à des recettes de grand-mère revisitée. C’est bon, efficace, juste dommage que les accompagnements soient en sus (3,50 €).

Dans ce décor branché, l’immense salle à manger de 180 couverts donne sur la grande cuisine ouverte. Le personnel ainsi que les serveurs en pulls marins y sont accueillants, souriants et à l’écoute. Le tout pour une addition raisonnable et un service rapide. Petit bémol : c’est dommage que l’on ne puisse pas réserver et le restaurant est un peu bruyant.

 Le plus : c’est ouvert toute la journée pour grignoter. Les encas entre 15h et 20h sont succulents pour seulement quelques euros avec un super cocktail en main.

La fête continue au sous-sol, avec un vrai bar secret ! mais chuuut…..!! Ce speakeasy nous attend avant ou après le repas dès 18h… Un coin caché au sous-sol (il faut passer par les frigos), pour siroter un cocktail ou pour les accrocs, jouer au billard tout en fumant. On y trouve des cocktails signatures comme « La Rose », « Le Diablotin » ou « le comme tu veux » (sujet à un hilarant quiproquo !). La déco, les barmen, la musique et surtout les cocktails, nous plongent dans une ambiance ENIVRANTE

A Paris, rares sont les endroits avec un bon rapport qualité prix dans un cadre sympa et branché. Les Champs-Elysées nous ont habitués au bling bling et aux prix élevés, le tout nouveau Jacopo dénote. Nous vous recommandons ce bistro moderne de qualité où les plats y sont joliment travaillés, le tout à prix doux … On y reviendra avec plaisir !!..

 

Attention, premier arrivé, premier servi !…

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SHAGREEN &TORTOISE

Les Trésors Marins de Shagreen et Tortoise…

L’esprit créatif de cette marque française originale est Marie-Hélène Loubrielle. Diplômée d’une école de commerce, Marie-Hélène a travaillé plusieurs années dans un grand cabinet de conseil. Attirée par la conception de bijoux et l’artisanat, elle a toujours voulu créer sa propre marque. Expatriée aux États-Unis pendant quelques années, elle suivra des cours du soir en design de bijoux. De retour à Paris, elle s’inscrira dans deux écoles de joailleries afin de suivre pendant deux ans une formation  approfondie pour lancer son projet.

C’est lors de son séjour à New York que Marie-Hélène se passionne pour les bijoux rétro des années 50,elle y puisera son inspiration avec les créateurs Seaman Schepps et Verdura devenus maîtres dans l’art de transformer les trésors aquatiques en bijoux d’exception.

Le nom Shagreen & Tortoise puise son origine dans deux matériaux nobles utilisés autrefois en joaillerie. Shagreen renvoie au galuchat, la peau de la raie, tandis que Tortoise désigne l’écaille de tortue.

Fin 2014, cette créatrice guidée par la nature et les matériaux (leurs formes, leurs couleurs et leurs textures) cherche à créer des designs nouveaux et exceptionnels avec simplicité et pureté dans les lignes. C’est en admirant l’extrême finesse d’un oursin rapporté de ses voyages qu’elle a l’idée de le rehausser d’un simple rubis . De cette première création est née Shagreen & Tortoise, une collection de bijoux mêlant  couleurs de coquillages naturels à l’éclat de pierres fines qui deviendront sa signature.

Les bijoux Shagreen & Tortoise sont en vermeil 5 Micron or 18 K sur argent décorés de cornaline, rubis, grenat, améthyste, quartz ou tourmaline. Entièrement fabriquées à la main, Marie-Hélène a du inventer une façon de travailler les coquilles. Les pierres sont certies, dans un atelier parisien et c’est Marie-Hélène qui taille, ponçe et ajuste les incrustations renforcées par des laques sur les coquillages. Pour les bagues, un insert de ressort intérieur a été spécialement conçu pour s’adapter à la plupart des tailles de doigts.

Les pierres fines semi-précieuses sont sélectionnées et taillées à Jaïpur et toutes les coquilles sont soigneusement choisies pour leur beauté esthétique parmi les espèces non menacées  issues du centre mondial de négoce des Philippines. Leurs diversités de forme, de taille et de couleur font de chaque pièce un modèle unique en son genre. Shagreen & Tortoise transcendent la beauté  de ces matériaux  naturels .

 

Elle élargie actuellement sa ligne  de bijoux dans le prolongement de sa première collection en utilisant de nouveaux matériaux comme la nacre, la corne, l’os ou la plume toujours issus d’animaux non protégés. Le résultat : une ligne de bijoux vraiment incroyable et 100% faite à la main à faire pâlir les sirènes.

Vraiment parfait pour commencer à rêver au farniente de l’été.On craque sur cette mosaïque de matériaux qui sentent bon les vacances ! Un sea world chic qui rend ses collections remarquables et surtout remarquées. Ces bijoux sont la résultante d’un mélange réfléchi et soigneux des matières précieuses et organiques.

NOTO Paris Salle Pleyel

La Méditerranée au balcon de la salle Pleyel.

Une parenthèse italienne raffinée au cœur du 8ème perchée au deuxième étage d’un haut lieu parisien.

Moins d’un an après la réouverture magistrale de la Salle Pleyel, NOTO Paris s’installe dans l’établissement mythique de la rue du Faubourg St Honoré. Depuis mai 2017, cette nouvelle table rend hommage à Noto, charmante petite ville installée à l’extrême sud-est de la Sicile dont s’est inspiré l’architecte Laura Gonzalez pour dessiner les lignes du restaurant de cette salle.

A 30 ans tout juste passés,Laura a déjà signé plus de 200 réalisations : les décors du restaurant la Gare (chaussée de la Muette), du Bois, de La Maison de l’Alsace, mais aussi la rénovation totale du somptueux Alcazar ou encore la transformation réussi de Polpo sur les rives de la Seine. Noto a été inspiré des images du célèbre « Guépard » de Visconti et du chic Cipriani new-yorkais, tout en conservant le cachet Art-Déco de la salle Pleyel. Laura Gonzalez, comme à son habitude, ne s’enferme dans aucun style et signe cette nouvelle adresse avec personnalité.

Le lieu est beau !  Une fois sorti de l’ascenseur qui permet d’accéder au 2e étage,  Benjamin Patou,( cador des nuits parisienne du Moma Group, qui nous a donné Manko, l ‘Arc…) nous fait  découvrir dans une ambiance art déco, une somptueuse salle à manger avec son déluge de marbre blanc, de noyer laqué, de lustres à pampilles, de moquette épaisse imprimée d’arabesques et de petites lampes aux abat-jour vert byzantin.

Un rendez-vous avec une Italie à l’élégance intemporelle où le contraste du goûts et des saveurs de la Sicile file vers le Maroc dans  un décor à la fois cossu et charmant. Le chef Mickael nous séduits par sa cuisine authentique  à base de produits frais de premier choix. Noto Paris est aussi fier de nous faire découvrir le Sangue d’ORO – vin produit par Carole Bouquet, sur son Île de Pantelleria entre Sicile et Tunisie. Une invitation à découvrir le Sud, à partager, à voyager, à savourer.

Le service fait le show, le ballet des serveurs est impressionnant. Sous la houlette du déluré Bruno, sicilien, aux airs de tonton flingueur, nous sommes accueillis par une équipe chaleureuse et professionnelle.. L’ambiance est festive le soir (airs italiens, chansons de crooners et musiciens en live) et parfaite pour un dîner entre amis.

Ce cadre magnifique où les tables sont suffisamment espacées nous ont fait  passer un moment très agréable. Le service est une véritable offensive de charme, vous êtes chouchoutés dans le moindre détail. Rassemblez toutes vos notions d’italiens pour échanger avec les serveurs tous charmants, et vous aurez l’impression d’avoir dîné à Rome ou Florence!

Une cuisine correcte avec des portions généreuses pour un prix cependant assez élevé. Cette adresse mythique au décor majestueux et à l’ambiance cosy et raffinée reste cependant incontournable sur Paris pour une soirée spectacle.

Une belle adresse chic et tendance .

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SOPHIE ANDERSON

Des sacs qui vont bien avec la bonne humeur de l’Été…

Née au Koweit, Sophie Anderson a grandi à Oman où dés son plus jeune âge, elle a été bercée par les cultures étrangères avec des souvenirs d’enfance dans le désert autour de tisserands bédouins. Elle s’imprègne de l’artisanat local traditionnel et de ses tissus électrisants qui inspireront sa future collection éponyme.

Avant de lancer sa marque, la carrière antérieure de Sophie comme professeur de yoga puis dans le design d’intérieur l’ont amenée à vivre à Paris, en Toscane, à Londres, à Hong-Kong, en Espagne et en Colombie. C’est lors de ce dernier voyage en Colombie que Sophie Anderson tombe amoureuse de l’artisanat local. Elle décide de ramener plusieurs pièces qu’elle vend à ses amis et sa famille. Après des retours très favorables, elle débute sa propre collection en 2011 en utilisant les techniques complexes et les compétences du Wayuu colombien qui ont été transmises de génération en génération.

Le résultat voit le jour avec la rencontre de personnes qui partagent la même passion du fun, des couleurs vibrantes et des motifs géométriques.  Sans aucune formation et avec 3 tisseurs membres de la tribu Wayuu, Sophie développe des points de suture uniformes et combine différentes techniques de tissages artisanaux traditionnels qui composent ses jolis sacs au crochet à la personnalité bohème audacieuse… Des pièces uniques tissées à la main, chics, aux formes ludiques, aux couleurs intenses, et d’une qualité inégalable inspirées par l’Amérique latine.

Ils sont confectionnés en  matières naturelles comme la corde, le raphia, la paille tressée ou le coton crocheté.  Aujourd’hui, 750 Wayuu travaillent avec elle et ces dernières années, Sophie Anderson a étendu sa production au Pérou, en Europe et en Inde en travaillant avec une variété de nouveaux matériaux tels que l’herbe au crochet, les cuirs, les cordes en vinyl et le raphia pour répondre à la demande toujours plus croissante. Les sacs best-sellers originaux de Sophie Anderson côtoient désormais une gamme complète d’accessoires comprenant des paniers structurés et une variété de barrettes et bandeaux au crochet.

Chaque année c’est la même histoire, on entre vraiment dans l’été quand on troque son sac d’hiver contre un modèle plus joyeux, plus léger, plus coloré, plus festif… Ces sacs d’été vont bien avec la bonne humeur des vacances, (même si elles ne sont pas encore là). Depuis le lancement de son label d’accessoires, les designs marquants de Sophie Anderson sont rapidement devenus un favori parmi les créateurs de mode.

Histoire de se mettre dans l’ambiance… On succombe au style boho chic de Sophie Anderson qui signe des sacs pratiques et décontractés. Une solution  mode pour notre combo t-shirt et jean d’ été. Ces pièces  sortent de jour comme de nuit, c’est le petit twist de folie qui emmène tout notre petit bazar personnel partout sans broncher pour assurer en toutes circonstances.

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LA PRESTIC OUISTON

Une maison « Mer »aux matières pur luxe…

Derrière ce nom improbable se cache la styliste autodidacte Laurence Mahéo : une créatrice de mode pas comme les autres. Prestic et Ouiston sont deux poupées qui ont suivi Laurence durant toute son enfance. Avec ses deux amies de chiffon, dans la boutique de tissus que tiennent ses grands-parents en Bretagne, elle joue à la couturière. Laurence commence à modifier des fripes qu’elle revend et prendra un virage plus formel en entrant chez le tailleur Arthur & Fox, où elle s’occupera de la ligne femme. Puis elle sera dénicheuse d’articles vintages pour les stylistes et en 2004, lancera sa première collection de pièces originales fabriquées à partir de carrés de soie vintage. Tout ça, sans jamais avoir fait d’école de couture.

La vie demandera à Laurence de mettre sa passion de côté pour reprendre l’exploitation ostréicole familiale suite au décès brutal de son père en 2006. Elle qui avait quitté sa Bretagne natale à l’âge de 12 ans a dû tout apprendre du métier et mettre entre parenthèses sa marque de vêtements en plein essor, lancée deux ans plus tôt. Ostréicultrice et créatrice de mode, deux métiers incompatibles ? Pas pour Laurence Mahéo. Très vite elle reprend ses tissus et son fil pour créer ce qui deviendra rapidement une marque incontournable de la scène de mode française. Quand elle n’invente pas ses tenues à Paris, elle s’occupe de ses parcs à huîtres dans le golfe du Morbihan.

C’est dans la slow fashion que la créatrice s’inscrit depuis 2010, période à laquelle la marque reprend son envol après avoir été repérée par la directrice du style du Bon Marché. Pendant des années, Laurence Mahéo propose des modèles uniques, avant de céder à la logique des collections. Elle collabore avec différents artistes dont Laurence Kiberlain  dans un univers  où ses imprimé deviennent des classiques et impose un style à son rythme.

Laurence Mahéo fait souffler un vent de fraîcheur sur la mode avec sa marque. On se pâme devant ses sublimes imprimés déclinés en robes chemises, en jupes boutonnées, en pantalons fluides de pêcheurs revisités.  On craque sur les vraies robes de filles à doubles bretelles et décolletées trompe-l’œil dans le dos, les tressages savants des foulards vintage ou des blouses en twill de soie, sa matière fétiche. Des tenues très féminines à l’allure bohème, un univers décalé pour « casser les codes »…

Cette jolie marque de prêt-à-porter est  Made in France.Elle prend tout particulièrement soin de la conception de chaque modèle aussi bien dans le choix de la qualité des tissus anglais ou italiens que dans la combinaison des matières, des mélanges de couleurs et dans la finesse du détail où toutes les finitions sont faites à la main. On peut donc reconnaître la patte artisanale dans ses créations. Chaque année, la styliste signe deux collections d’une soixantaine de pièces, une couture avec des créations uniques, numérotées à la main, une autre plus basique pour tous les jours. Du haut de gamme, tout de même, qui s’explique par le choix de matières nobles et précieuses.

Aujourd’hui, forte de cette vie atypique, Laurence arrive à donner à ses créations une dimension fraîche et joyeuse. En ressort des collections chaque saison plus étonnantes, subtilement poétiques et dictées par une folle envie de différence.

Cette marque, quasi inconnue du grand public, est tranquillement en train de s’installer. Ses créations deviennent incontournables dans les magazines de mode. Au Japon, aux États-Unis, en Espagne, à Paris, les modeuses averties se les arrachent.

Sa collection printemps-été 2018 mixe les imprimés « Animaux Marins » de Laurence Kiberlain, et « Darwin » du collectif Paulette Zoute sur un vestiaire d’exploratrice et de chasseuse de papillons. La Prestic Ouiston nous  éblouit par cette dernière collection si singulière mais surtout dépourvue de fausses notes.

Fin février, un corner éphémère a été inauguré au Bon Marché jusqu’à la fin du mois de mars où elle y dévoilera également une sélection de pièces uniques ainsi que ses toutes premières lignes de maroquinerie, de décoration et papeterie. La créatrice s’est également plongée dans l’écriture de son premier roman, histoire de rajouter une troisième corde à son arc et prouver une fois de plus qu’elle est une véritable touche-à-tout !

Une marque française inclassable, hautement qualitative, dont la proposition forte ne cesse d’étonner …

Autant se dépêcher, car la collection fait un ravage pour toutes celles ayant l’art et la manière d’apprécier de si belles pièces. En d’autres termes, foncez fissa !!!

À suivre..

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ASCENO

Cet été, tous en pyjama !!!

Poppy Sexton-Wainwright et Lauren Skerritt ont lancé leur première  collection de vêtements de nuit  » Beautiful Bottoms » il y a plusieurs années.

En 2014, le duo mûrit et rebaptise la marque ASCENO qui rappelle les déesses grecques et qui est destinée à honorer la féminité et la force d’une femme. Un nom en harmonie avec l’énergie et l’essence de leurs collections.

Chez ASCENO, chic et confort vont de pair. Inspirées de l’esprit décontracté des années 90, les créations ASCENO se distinguent notamment par des rayures audacieuses et une utilisation inédite de la couleur.
En soie, uni ou imprimé, le pyjama, longtemps rangé dans nos armoires, est devenu un vêtement à part entière .

Portées au naturel, les élégantes robes chemises de nuit et les déshabillés à bretelles, rehaussées de rayures ou de passepoils contrastants, signature de la marque, sont tout aussi parfait pour un déjeuner au bord de la piscine, rester chez soi ou deviennent la tenue idéale de cocktail.

Asceno fabrique ses pyjamas en satin de soie extrêmement doux contre la peau qui permettent un mouvement facile et un confort ultime. Les coutures impeccables rendent ces pièces sophistiquées et intemporelles..

Un ultime must-have pour la femme contemporaine à porter sans effort de jour comme de nuit, mais attention au « total look », pour sortir : on garde la veste ou le pantalon mais pas les deux.

Asceno, c’est aussi une collection de maillots de bain confortables et loungewear avec des imprimés et des coupes qui mettent l’accent sur des tissus de qualité.

Choisir un maillot de bain, c’est synonyme d’été, de plage et de vacances. On vous offre une évasion avant l’heure. Il y en aura pour tous les goûts : des maillots push- up pour les petites poitrines, des culottes taille haute pour les complexées, des maillots une pièce pour les élégantes et des maillots de bain triangle pour celles qui trouvent que c’est plus sexy. Élégante et haut de gamme, cette collection est chic, flatteuse, parfaitement proportionnée et idéale pour la plage.

On aime l’élégance décontractée de cette collection de villégiature. Cette marque incarne le style chic sans effort.

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BLEU TANGO

Lou Ripoll, jeune styliste, passionnée d’art et de mode, a suivi une  formation au design textile à l’école Duperré, et au patronage à l’École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne. Après avoir travaillé pour Antik Batik et la Prestic Ouiston, elle décide de lancer en 2013 sa propre marque pour mettre de la couleur dans la vie des femmes.

Elle imagine des motifs rien que pour elle, à partir de ses aquarelles, illustrations et découpages : des imprimés rêveurs et poétiques, exclusifs et originaux, que vous ne trouverez sur le dos de personne d’autre. Bleu tango exprime l’alliance d’un « Bleu de travail »et d’un twist créatif et ludique « tango ».

Un vestiaire de pièces créatives et pratiques avec de nombreux modèles « Réversibles » conçus pour habiller les femmes du matin au soir et qui offrent la possibilité de changer son look dans la même journée.
Loin des dictats des tendances, Lou est une artiste qui fait de très jolies aquarelles. Ses collections sont parsemées de jolis motifs colorés, dont c’est la signature. Bleu Tango nous fait voyager au gré des ses inspirations, à la fois dépaysantes et aquarellées, au travers de motifs photographiques,

d’oiseaux exotiques ou de citations littéraires. Un univers poétique marqué d’une grande sensibilité qui nous plonge dans un monde artistique teinté de romantisme.

Les motifs sont imprimés en France ou en Italie sur des tissus coton, viscose ou rayonne. Lou sélectionne des jacquards auprès de fournisseurs lyonnais et italiens au savoir-faire traditionnel. Les vêtements sont ensuite confectionnés en séries limitées entre le nord de la France et la Pologne chez des façonniers rigoureux, qui assurent un tombé impeccable et des finitions parfaites avec une exigence de qualité haut-de-gamme. Son petit plus: il y a des poèmes sur les étiquettes
Elle propose également dans son espace organisé comme une boutique-atelier, un service de conseils personnalisés pour du sur-mesure de qualité à un prix identique à la pièce choisie. Une mode joyeuse et ludique à des prix accessibles.

Des tenues au caractère romantique, pratiques et féminines, aux coupes réfléchies qui durent dans le temps et qui s’adressent à tous les styles et toutes les tailles de 20 à 80 ans. Grâce à ses dessins exclusifs et à ses couleurs, on portera chacune du Bleu tango du plus classique au plus fou des mix and match de motifs.